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#01- le Portrait d'Amelia
#01- LE PORTRAIT D'AMELIA
Scénariste(s) : Philippe AYMOND
Dessinateur(s) : Philippe AYMOND
Éditions : Dargaud
Collection : X
Série : Highlands
Année : 2012     Nb. pages : 48
Style(s) narratif(s) : Diptyque
Genre(s) : Aventure de pirates / de cape et d'épée, Drame familial, Fantastique
Appréciation : 5 / 6
Quand la Grande Histoire passe par la petite...
Écrit le jeudi 31 mars 2016 par PG Luneau

Titres lus : #01 - le Portrait d'Amelia

            #02 - le Survivant des eaux noires (2013)

 

Depuis Noël, Radio-Canada nous bombarde de pub de la télésérie Outlander : le chardon et le tartan, tirée de la très populaire série de romans de Diana Gabaldon. Comment ne pas être titillé?! Pour ma part, j'ai toujours été intrigué par le peuple écossais : les codes des tartans, les kilts, les bérets à pompons, les cornemuses, le monstre du Loch Ness et toutes ces sortes de choses... Fasciné que je suis par la beauté sauvage de leurs landes herbeuses, je suis en contrepartie tout à fait ignare de leur histoire, de leur vie, de leur culture, de leur spécificité...

J'ai donc commencé à enregistrer la télésérie (que j'écouterai en rafale quand j'en aurai le temps), j'ai acheté le petit jeu de société Lords of Scotland (bien sympathique!)... et j'ai sorti de ma gigantesque pile à lire un diptyque que j'avais acheté il y a quelques années, en ne me basant que sur la beauté esthétique des illustrations de couverture : Highlands, de Philippe Aymond! Et je n'ai pas été déçu! ;^)

En deux tomes de 48 planches, cet excellent auteur nous présente un récit intelligemment monté au cours duquel nous suivons les déboires de Joseph Callender, un jeune peintre qui, rentrant au pays après une longue formation auprès de grands maîtres, en Italie, trouve une place auprès du riche duc de Plaxton à titre de portraitiste privé!! Peu de temps après son arrivée, il reçoit le mandat d'exécuter le portrait de la fille du duc, la belle Amelia. Évidemment, une tension langoureuse s'établira entre ces deux jeunes gens, mais le beau Joseph saura faire preuve de professionnalisme et contiendra ses désirs à l'égard de la belle, qui lui rappelle de façon troublante un ancien amour perdu... Malheureusement, de vilaines langues médiront, et fomenteront même un complot, carrément, qui mènera le portraitiste devant le tribunal, accusé d'avoir déshonoré la douce Amelia, promise à quelqu'un d'autre!

Le premier tome se conclut donc sur le procès et l'épatante évasion du jeune peintre, blessé, meurtri, dévasté... Le second se consacrera à une espèce de grande enquête, quelques mois plus tard, visant à établir la vérité : qui est à la tête de ce complot, qui cherchait tant à détruire la réputation du peintre... et celle de sa jeune modèle, car la belle jeune femme n'est pas sortie indemne de toutes ces accusations, bien loin s'en faut!!

Parallèlement à cette énigme joliment bien échafaudée, Aymond nous sert de belles tranches d'événements historiques qui ont eu cours, à cette époque, dans ce coin de pays, toutes en lien avec la Rébellion des Jacobites de 1745-46! J'ai bien aimé l'habileté de l'auteur à intégrer les moments-clés de la Grande Histoire aux divers épisodes de son récit : certains de ses protagonistes seront happés par la fièvre révolutionnaire, et certains grands personnages historiques croiseront Callender, le Duc de Plaxton ou leurs proches. Bien sûr, ça a forcé l'auteur à être un peu plus verbeux... mais il le fallait bien, pour que l'on puisse comprendre minimalement les tenants et aboutissants de ce tragique épisode de l'Histoire!

Si, tout comme moi, vous voulez en apprendre plus sur l'histoire des Jacobites et des Écossais, ou si vous voulez simplement vous plonger dans une saga épique qui ne s'éternise pas sur douze tomes, je vous recommande très chaudement cet enlevant diptyque. Nul doute que, comme moi, vous serez emportés vers un autre espace-temps fascinant, au son nasillard des cornemuses...et des cris de paon!! ;^)

À partir de 16 ans.

 

Plus grandes forces de cette BD :

 

  • les superbes illustrations de couverture. Comme il arrive assez souvent (ce fut le cas avec les séries Dualiste, les Rochester ou le Sang du dragon, par exemple), ce sont ces dessins qui sont venus me chercher, moi, petit client qui déambulait dans la librairie, le cœur ouvert à l'inconnu, ayant envie de dire bonjour à n'importe qui... Et n'importe qui, ce fut... ces scènes d'action, plantées dans ces landes verdoyantes!! Tout de suite, j'ai été tenté, puis deux aspects ont achevé de me convaincre : le splendide typogramme, avec sa belle croix celtique en filigrane, puis, juste à côté, la petite mention (Tome 1 / 2) qui me confirmait que j'étais en présence d'un diptyque. Voilà, c'était réglé : j'achetais!

 

  • le tartan des pages de garde! Gros détail, me direz-vous, et vous aurez bien raison, mais la perfection avec laquelle ces milliers de petits traits, représentant les fils des trames du tissu, sont disposés, et le mélange de vert, de bleu et de blanc, sur fond marine, m'ont charmé! Je vous l'ai dit plus haut : ces tartans et leurs codes m'ont toujours fasciné! ;^)

 

  • la qualité graphique des deux tomes. J'ai vraiment beaucoup apprécié le trait réaliste de monsieur Aymond. Son caractère un peu vieille école, qui m'a parfois rappelé les BD que je lisais, jadis, dans mes Vidéo-Presse, ou, à d'autres occasions, celles du grand Servais (auteur du Vol du corbeau, notamment!), cadre tout à fait avec ce récit historique. Et la coloration!! Grands dieux!! J'ai adoré me laisser absorber par cette variété de belles couleurs toutes contrastantes! Rien de criard, évidemment : on ne veut pas dénaturer l'époque, mais d'une sobre vivacité du plus bel effet. Sublime!! ;^)

 

  • le bon équilibre du récit. Il nous offre de la romance, de l'aventure à la Lagardère, du mystère (mais qui donc est cette fameuse Gloria??), des secrets (que contient le fameux carton??), des combats épiques (dont l'éclatante bataille des p.25 à 29 du second tome), un humour subtil (notamment, dans le bas de la p.4 : quel soufflet! ;^) et même une touche de fantastique (via le fameux paon et la mère de Tullibardine, un brin sorcière!). Il y en a pour tous les goûts, dans une cohérence exemplaire!

 

  • le paon et sa gracieuse omniprésence. Tout au long du récit, de la première à la dernière planche, cet élégant phasianidé fait le lien entre les scènes, les gens... et les époques, même!! :^0 Après tout, la légende ne dit-elle pas que cet oiseau possède un don de prescience et qu'il peut vivre près de 200 ans??!! C'est une bonne idée que de s'être servi d'une si belle bête pour unifier tout le récit! ;^)

 

  • de très beaux personnages. Callender, en peintre héroïque au passé trouble, est déjà très intéressant... ce qui, ma foi, est assez rare pour un personnage central!! Mais plusieurs des personnages secondaires sont aussi super accrocheurs. Mes deux favoris sont sans conteste la belle Lynette, qui s'avérera fine magouilleuse (et plutôt vicelarde!!), et le touchant Ian, fidèle compère, laconique à souhait!

 

  • une construction scénaristique solide, avec de beaux moments forts. Le procès qui occupe les 8 dernières planches du premier tome nous dévoile enfin une partie des mystères... mais en instaure autant d'autres!! ;^) Puis, le duel final du tome #2, en plus d'être efficace, rebrasse toutes les cartes et étale un pot-aux-roses qu'on n'avait vraiment pas vu venir!! On est véritablement en présence d'une superbe intrigue, joliment construite! ;^)

 

Ce qui m'a le plus agacé :

 

  • l'absence de titre spécifique sur la couverture. C'est à peine si ces titres sont inscrits, en tout petits caractères, sur les pages de... titre!! :^P Rien ne les met en évidence!

 

  • la trop grande originalité de l'introduction!!? En effet, la première planche, sublime, se veut une espèce de fade out temporel, comme si tout le récit n'était qu'un long flashback de plusieurs centaines d'années, avec Silver, le paon familial, dont on apprend qu'il pourrait être plus que centenaire, comme tous ceux de son espèce, à l'en croire une légende du coin... Bon, que les premières répliques (surplombant les 6 premières vignettes et écrites d'une main tremblante dans des phylactères larmoyants) se veulent sibyllines, je veux bien... mais qu'est-ce qu'elles ont le chic pour nous déboussoler, pauvres lecteurs!! Où sommes-nous, quand sommes-nous et, surtout, qui parlent?? Après maintes relectures, on doit se soumettre à l'évidence : on ne le saura pas de sitôt!! Passez outre, donc, et raccrochez-vous plutôt au contenu des deux dernières vignettes qui, avec la planche suivante, constituent plus vraisemblablement le début de la narration... Mais garder tout de même en mémoire cette planche aux verts et aux bleus si purs : elle finira (beaucoup plus tard!!) à trouver écho à un passage du livre... et servira à boucler la boucle de superbe façon, à la toute fin du deuxième tome! ;^)

 

  • une coquille embêtante. La première fois que l'on croise un personnage, dans une œuvre de fiction, on s'attend à ce qu'on nous le présente par son nom. Ici, à la p. 4, on apprend que le père d'Angus Mac Tallian se prénomme Robert... pour être appelé Ronald dès la page suivante!!?? C'est d'autant plus confondant dans ce genre de récit historique où foisonnent des tonnes de personnages, de noms de clans et de factions de tout acabit! Aidez-nous un peu, que diable!! :^S

 

  • le caractère parfois un peu verbeux du récit. Évidemment, le contexte politique et historique très particulier mis en place (l'Acte d'Union, les Jacobites, les Hanovre, Georges II, les Whigs...) demande des explications et des précisions à bien des égards, et je dois avouer que j'ai pu, grâce à cette surabondance de texte, comprendre à peu près ce qu'il y avait à comprendre, et en apprendre beaucoup plus sur l'histoire de l'Angleterre et de l'Écosse. Toutefois, il aurait peut-être été intéressant de trouver des méthodes plus visuelles pour véhiculer cette même information sans passer par ces phylactères gigantesques et bavards?!

 

  • la ridicule idée de ne pas préciser l'existence d'un très intéressant lexique, à la fin de l'album!! ;^P Tout au long de ma lecture, j'ai peiné à comprendre plein de termes historiques ou culturels que je ne connaissais pas, comme un gilly, une clàrsach ou un taishatr. Souventes fois, j'ai dû aller fouiller dans les dictionnaires, qui n'avaient pas toujours la réponse à mes questions... et ce n'est qu'à la toute fin du premier tome, à la dernière planche, que j'ai découvert qu'on nous avait offert un superbe lexique, avec la définition précise de chacun des mots qui m'avaient fait défaut!!?? Une petite note, au verso de la page de titre ou en bas de page, précisant qu'un tel outil se trouvait en fin d'album, ça ne leur aurait pas tenté?? Grrr!!!  >:^(

 

  • dans le même ordre d'idée, certaines expressions non-traduites. C'est anecdotique, bien sûr, mais j'aurais bien aimé que les phrases échangées entre Ian et sa mère, dans un patois gaélique, manifestement, me soient accessibles... D'autant plus que cette vieille dame s'avère des plus intéressantes!! ;^) Il en va de même pour les exaspérations du peintre Mac Tallian, à la p.36 du 2e tome...

 

 

 


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@ Danielle : Ah bon! Comme je n'ai pas encore visionné la télé-série (elle dort sur mon enregistreur numérique!!), je ne savais pas qu'elle partageait cet important moment de l'histoire écossaise avec ce diptyque!
Rédigé par pgluneau le vendredi 20 mai 2016 à 16:56


J'ai tout simplement lu les livres de Diana Gabaldon. ;-) Je ne savais pas qu'on en avait tiré une série. Ses personnages sont à tel point ancrés dans mon imaginaire de lectrice que j'aurais peur d'être déçue par le choix des acteurs.
Rédigé par Danielle le vendredi 20 mai 2016 à 10:23


@ Danielle : Tu connaissais la bataille de Culloden!!?? Wow! Tu m'étonneras toujours!! Je suis épaté! ;^)
Je suis content que tu soulignes l'humour de certaines répliques : j'en parlais subrepticement dans mon 4e boulet (ah! le subtil soufflet au jeune Mac Tallion!! ;^), mais tu relèves plusieurs autres exemples bien amusants. Merci!
Rédigé par pgluneau le vendredi 20 mai 2016 à 8:09


Quelle curieuse approche pour évoquer la boucherie de Culloden que de l’aborder par le biais d’une histoire d’amour anticipée! Jolie tignasse et plume coquine auront incidemment bien du mal à se sortir indemnes d’un tel amalgame de tromperies et de méprises. La fin du tome 1 est stratégiquement très réussie et quelques bravades m’ont particulièrement réjouie : La façon dont le duc de Plaxton évince le suffisant Angus Mac Tallion, l’audace de William revêtant la tenue Jacobite aux couleurs du clan de sa mère et la réplique de Lynette balançant son verre de vin à la figure de celui qui la rabaisse après l’avoir dédaignée. Jouissif!
Rédigé par Danielle le vendredi 13 mai 2016 à 16:12


@ Anne des Ocreries : Sans rancune!! À plus!! ;^)
Rédigé par pgluneau le dimanche 03 avril 2016 à 9:01


Oh ! je suis désolée, PG, il était hors de question de te faire passer pour un imbécile ou quoi que ce soit d'autre ! c'était taquinerie sans méchanceté, et c'est vrai que pour ma part, regarder à la fin, ça aurait été mon premier mouvement. Je crois que j'ai fait preuve de maladresse en m'exprimant, je te prie de bien vouloir m'excuser, je ne voulais blesser personne.
Merci aussi de ta mise au point concernant la distinction famille/ordre/genre. En biologie, il importe de ne pas confondre.
Bonne fin de journée.
Rédigé par anne des ocreries le dimanche 03 avril 2016 à 2:26


@ Danielle : Vorshlouf zloteg gratishlap falk... chtolmech flach!

(traduction du gaélique (si, si, je te le jure!! ;^) : cela fera très certainement partie de ta prochaine cuvée... qui ne saurait tarder! ;^)
Rédigé par pgluneau le vendredi 01 avril 2016 à 23:37


@ Anne des Ocreries : Wouais... Tu n'y vas pas de main morte!! Je ferai donc de même! ;^)

D'abord, pour TON information, le paon est de la famille des phasianidés (c'est le Net qui le dit, et je le précisais dans mon texte : faut savoir lire! ;^). Le terme gallinacé semble pour sa part être le nom de l'ordre. Pour sa durée de vie, j'imaginais bien que la légende ambitionnait un peu!!

Pour ce qui est du lexique, désolée madame si je ne suis pas aussi futé que vous. Oui, je vais voir à la fin d'un documentaire pour voir les glossaires, lexiques et autres notices du genre. C'est effectivement une convention. Non, je n'ai pas le réflexe d'aller voir à la fin d'une BD s'il s'en trouve... car c'est TRÈS rare, dans ce genre littéraire. Et habituellement, c'est annoncé. Ou indiqué par des astérisques, des italiques, des gras, des notes en bas de page... C'est ÇA, la convention. Par chez nous, du moins. Ça doit être un peu le cas par chez vous également puisque tu le dis toi-même, à la fin de ton commentaire... tu sais, juste après m'avoir fait passer pour un taré inculte et un prof incompétent!

Et si tu vas relire mon 12e boulet, celui sur lequel tu cherches à me reprendre, et bien tu constateras que c'est exactement de l'absence de ce genre d'indications que je me plaignais!! Alors, du coup, merci pour ton édifiant commentaire... qui finit par dire exactement la même chose que ce qu'il cherchait à dénoncer!! :^P

J'aime bien, par contre, ton dernier point : je me plains de ce que quelques tirades ne soient pas traduites, mais ça ne veut pas dire que je ne veux pas en retrouver dans des albums, au contraire!! Comme toi, je trouve intéressant que ces patois régionaux ou langues étrangères soient bien représentés. Ils ajoutent du réalisme, comme je le disais dans ma critique des derniers albums de la série Imago Mundi.
Rédigé par pgluneau le vendredi 01 avril 2016 à 23:34


Oh! Que ça me parle! En gaélique, il va sans dire. ;)
Rédigé par Danielle le jeudi 31 mars 2016 à 18:17


Whaaaaa ! tu me fais saliver pis du coup j'ai envie de lire !

Pour info, un paon ( famille des gallinacés : poules, faisans, pintades, cailles, dindes etc...) a une espérance de vie de 15 ans environ.

Pis...un p'tit bémol : Y a un lexique à la fin - bon. T'es pas un assisté ni un sot, pour autant que je sache ; je m'étonnes qu'avant d'aller fouiller dans les dicos, tu n'aies pas eu le réflexe de regarder en fin de l'album si des fois...c'est toujours là qu'on trouve ce genre de choses, ainsi que la table des matières des livres etc...ça coule tellement de source ! c'est une convention !! quand rien n'est en bas de page, ou de case, faut aller à la fin !! Si t'en es à demander qu'on t'informe de l'existence d'un lexique en fin de livre, ou t'es fatigué, ou t'as trop l'habitude du tout-mâché...M'enfin, P.G !!!??? Un lecteur tel que toi a dû déjà en voir pas mal, des notes de fin d'album ?? Avec l'habitude ( et ça, ça s'enseigne en primaire), un lecteur sait où chercher, normalement ? Faut pas trop assister le lecteur - il n'est pas un demeuré, sapristi !!! Ou alors, je deviens trop vieille pour ce monde? [joke - et peut-être réflexion impertinente, mais c'est pas pour être vexante, pardon. ] Par contre, il eût été intéressant de signaler les mots présents dans ce lexique, soit en les flanquant d'un astérisque, soit en les mettant en italique ou en gras ( convention, toujours...)

Par contre, je suis 100 % d'accord avec toi, sur les expressions non traduites : cela n'a pas lieu d'être. Dans ces cas-là ( merci quand même d'utiliser des langues régionales, ça "localise" un récit), on leur colle un astérisque et la traduc' en bas de case...
Rédigé par anne des ocreries le jeudi 31 mars 2016 à 18:06




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