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#01- les Mémoires troubles
#01- LES MÉMOIRES TROUBLES
Scénariste(s) : Claude MYTHIC
Dessinateur(s) : François WALTHÉRY, Dragan DE LAZARE
Éditions : le Lombard
Collection : X
Série : Rubine
Année : 1993     Nb. pages : 48
Style(s) narratif(s) : Récit complet
Genre(s) : Aventure policière, Thriller
Appréciation : 3.5 / 6
Quand le classique dur à cuire laisse place à une pitoune au cube!...
Écrit le samedi 04 avril 2015 par PG Luneau

Tomes lus : #01 - les Mémoires troubles (1993, 3,5/6)

            #02 - Fenêtre sur rue (1994, 4/6)

            #03 - le Second témoin (1995, 4,5/6)

            #04 - Serial killer (1996, 4,5/6)

 

Depuis l'époque d'Al Capone et d'Eliot Ness, Chicago a toujours su intéresser les auteurs de polars ou d'autres récits policiers. Quand vient le temps de décider à quel endroit cadrer leurs intrigues et leurs personnages, celle que l'on surnomme la Ville des vents a souvent la cote! Ce fut le cas pour le mythique Mythic (elle était facile, j'avoue! ;^), scénariste du Gowap, d'Hallowen blues et d'une bonne partie des Alpha, quand il a voulu lancer sa Rubine! Pour illustrer cette nouvelle héroïne, ce monsieur s'est adressé à quelqu'un avec qui il avait collaboré à maintes reprises : François Walthéry, le plus que célèbre dessinateur de l'agent de bord la plus populaire de tout le 9e art : Natacha!!

Celle-ci, vous le savez, est une sublime blonde qui se retrouve, quoi qu'elle fasse, dans des histoires toujours une peu compliquées, qui la poussent toujours à dépasser ses limites et à faire preuve d'une assurance et d'une ingéniosité à toute épreuve. Cette fois, avec Rubine Killarney (un jeu de mot avec killer née??), on découvre... une sublime rousse qui se retrouve, quoi qu'elle fasse, dans des histoires toujours un peu compliquées, qui la pousse toujours à... sortir son flingue et à le ballotter sous le nez des fumiers qui polluent la vie des gens ordinaires!!?

En effet, Rubine est flic. On ne peut plus flic de flic! Inspectrice, en fait, pour la police de Chicago... Et ce, même si sa pauvre mère (et la moitié des gens qu'elle croise) la croit mannequin!! C'est qu'elle est plus que joliment roulée, la pitoune! Chevelure de feu, grands yeux de biche, taille de guêpe, hanche plantureuse, poitrine plus que généreuse... Elle est aussi pin-up que Natacha, dont elle est la presque sosie!! Messieurs Walthéry et de Lazare, son acolyte, ont manifestement été rudement marqués par les Barbies, étant jeunes! Choses certaines, ils aiment indéniablement la femme sculpturale et cherchent à nous partager leurs fantasmes!! ;^)

Malgré son physique de top-modèle (que les auteurs n'ont de cesse de montrer avec le moins de vêtements possible!), Rubine reste une femme d'action énergique et plutôt masculine (ce qui détonne de Natacha!!). Elle, elle est très très flic : fonceuse, elle n'hésite jamais à tirer d'abord pour poser les questions ensuite! D'une opiniâtreté à toute épreuve, elle a souvent maille à partir avec le système, et a plutôt tendance à faire fi des contraintes administratives lorsqu'elles nuisent à l'efficacité d'une enquête! Heureusement que son patron l'aime suffisamment pour la couvrir, lorsque nécessaire!! ;^)

Avec elle, on entre dans l'univers (déjà très connu!) des postes de police américains, mais ceux des années 90, ceux d'avant l'explosion technologique qui a depuis chamboulé les méthodes d'investigations. Ici, pas de logiciel de reconnaissance faciale, par exemple. On est de la vieille école, très loin de toutes les technologies ultraperformantes dont nous inondent tous les C.S.I. de ce monde!! ;^) Les ordis sont bien présents, mais ils ont leur limite. L'accent est donc mis sur l'action plutôt que sur les entourloupes informatiques!

Et l'action, elle est omniprésente! On pourrait reprocher à Mythic, dans les premiers tomes, sa petite tendance à abuser des «heureux hasards», mais ses intrigues se raffinent rapidement au fil des albums et touchent toujours des thématiques fort intéressantes, qu'il parvient à pimenter d'agréable façon. Aussi, si vous êtes amateurs de petits thrillers policiers sympathiques, toujours empreints d'une petite touche d'humour, Rubine devrait avoir de quoi vous satisfaire. À partir de 14 ans.

 

 

Plus grandes forces de cette BD :

 

  • les idées de scénarii. Le premier tome nous présente une histoire de piratage électronique, ce qui devait être assez avant-gardiste, en 1993. De même, les thématiques des tomes #3 et 4 sont particulièrement intéressantes : un cas de protection de témoin (Rubine se voit même obligée d'héberger la jeune pimbêche chez elle!!) et un inquiétant cas de tueur en série... qui n'en serait peut-être pas un!! Si on fait abstraction de quelques hasards plus difficiles à gober (surtout dans les deux premiers tomes, voir plus bas), Mythic parvient assez bien à apprêter ces thèmes classiques de manière à les rendre passionnants.

 

  • une violence assez assumée. Dans la série Natacha, qui s'adressait aux lecteurs de Spirou, donc un peu plus jeunes, les gens se faisaient plutôt blesser légèrement et les bandits se faisaient capturer suite à de belles bagarres sans dégât majeur. Ici, on est dans une série plus mature, à Chicago, et la police affronte de véritables criminels. C'est dire que la mort y est plus fréquente, plus sérieuse et moins enjolivée! On est loin des carnages à la Tarantino ou au Trône de fer, mais on assiste tout de même à des chutes du 30e étage ou à des assassinats en règle! Âmes trop sensibles, s'abstenir!!

 

  • l'humour, toujours présent. J'ai beaucoup aimé toutes ces petites pointes humoristiques, sous forme de commentaires sarcastiques, bien souvent, qui ajoutent de la légèreté lors de situations parfois lourdes (voir tome #3, p.34, vignette #4 et 5! ;^). Souvent émises par Rubine elle-même, ces répliques nous font voir sa grande capacité d'autodérision, ce qui nous la rend encore plus sympathique! Et qu'est-ce qu'elle est drôle, la vieille curieuse du tome #3 (p.17-18) : elle en prend pour son rhume!! ;^D

 

  • de belles vues de Chicago, que l'on sent vraies! Je n'ai jamais visité cette grande ville, mais les bâtiments qu'on nous montre sont souvent si détaillés qu'ils me donnent l'impression d'exister réellement. On dirait que les dessinateurs ont fait de bonnes recherches visuelles! Des exemples? Que dans le premier tome, les p.17 à 21 nous présentent toutes au moins une vignette illustrant un coin de la ville ou un bâtiment particulier... Il en va de même pour les pages de garde, qui nous montre le Tribune Tower et le Wigley building (merci, Internet!)!! C'est du beau boulot! ;^)

 

  • quelques bons éléments scénaristiques. J'ai bien aimé, par exemple (attention : spoiler!!), n'apprendre qu'à la p.26 du premier tome, que Jay et Rubine sont en fait frère et sœur! Ça ajoutait un bon petit punch! Et j'adore la chaleureuse présence du gros teddy bear dans l'appart de Rubine : cette grosse peluche, qui fait office de copain protecteur, est véritablement charmante... et nous montre une facette plus vulnérable de notre héroïne!! ;^) Le punch et la finale du tome #3 sont particulièrement efficaces (il a bien mérité son prix Microfolies de Maisons-Laffitte, celui-là!), et la déstructuration du récit du 4e tome ajoute un plus à la lecture, la rendant plus complexe mais, du coup, plus satisfaisante!! C'est une belle idée!

 

  • le titre du second tome, qui est un beau clin d'œil au Fenêtre sur cour, d'Hitchcock. D'ailleurs, ce n'est certes pas un hasard si le tueur à gages que l'on suit dans ce tome porte justement ce nom : Hitchcock!! ;^)

 

  • de très beaux personnages secondaires. J'aime bien Shirley, la belle grande noire qui travaille avec Rubine au commissariat, ainsi que Marcus, l'amusant médecin légiste bedonnant. Jay, le frère de Rubine (qui rappelle beaucoup Walter, le faire-valoir de Natacha!) est aussi assez intéressant... malgré son visage qui rappelle Reggie ou Jughead, dans Archie!! ;^) Même certains personnages plus épisodiques me sont apparus plein de potentiel! C'est le cas de la gentille dame Alysson, dans le tome #2 : une charmante petite vieille à l'esprit bien éveillé! J'espère qu'on la reverra dans un tome subséquent! ;^)

 

  • quelques informations intéressantes sur le monde policier de l'époque. La note, en bas de page 35 du tome #3, est fascinante : des contrats ont déjà été mis sur la tête de chiens renifleurs!?! Wow!!? ;^) De même, grâce au tome #3, j'ai appris (mais via le Net : j'aurai aimé qu'on me l'explique dans l'album!) que la stomatologie est l'étude des empreintes dentaires! Finalement, les tueurs en série listés par Rubine, à la p.23 du tome #4, ont tous déjà existés. Mythic n'y est pas allé de noms fictifs!

 

 

Ce qui m'a le plus agacé :

 

  • le titre du premier tome. Je cherche encore son lien avec le récit!?!?!?

 

  • un concept troublant dont je n'avais jamais entendu parler : un appartement-garage!!?? Qui vivrait dans un loft luxueux... en compagnie de sa bagnole qui embaume l'essence et le caoutchouc?? Internet me confirme que ça existe!!?? Rubine vit donc au sommet d'un building de Chicago... mais elle accède à son appartement directement en voiture, par un monte-charge!! La voiture prend place juste derrière la causeuse de son salon!! J'aurais pourtant juré que les règles de sécurité municipales nord-américaines auraient interdit ce genre de fantaisie!! Le problème, c'est qu'on nous présente cette extravagance dès la première planche du premier tome, sous des angles de vue qui nous font douter de ce que l'on voit. J'ai dû relire la planche trois ou quatre fois avant de me convaincre de ce que je voyais!! ;^S

 

  • l'excès de pitounes. Je veux bien croire que les jeunes ados à qui s'adresse cette série ont les hormones dans le tapis, et qu'ils ne souhaitent pas mieux que de voir le plus de rondeurs féminines possibles, mais de là à imaginer mille et un prétextes saugrenus pour placer son héroïne ou ses belles amies dans des situations où elles sont dévêtues, il y a des limites! Toujours des bains dont on doit sortir, toujours des serviettes ou des jupes trop courtes... c'en n'est même pas subtil!! Le summum, c'est quand Rubine (tome #2) s'en va se faire masser dans un centre (à la clientèle exclusivement féminine et court vêtue) et que deux jeunes salopards y entrent pour... dévaliser (?!?) les clientes!?! Bien sûr, Rubine intervient en force,  dans son plus simple appareil... mais comme si ce n'était pas déjà assez ridicule, les auteurs ont décidé de la laisser ainsi, même 5 minutes plus tard, quand une armée de policiers arrive pour prendre le relais!! Vous connaissez beaucoup de femmes, vous, qui auraient «lutté» contre le réflexe normal d'enfiler un peignoir, dans une telle circonstance?? Non, vraiment, cette lubie de montrer des seins pointant, des fessiers dénudés, de la peau, de la chair et bien peu d'étoffe, frôle carrément  l'obsession maladive!

 

  • les visages trop souvent disproportionnés!?! En effet, à de très nombreuses reprises dans chaque album, les traits des visages (yeux, nez et bouche) sont beaucoup trop grands pour la taille du visage!! C'est le cas pour Jay, le frère de Rubine, au début de la p.7 du premier tome... mais vous en avez un exemple encore plus patent sur la couverture du tome #2 : voyez combien les yeux de Rubine sont énormes, ce qui donne à la belle enfant une face de grenouille plutôt repoussante!! La chevelure de la femme, dans le bas de la p.30 du premier tome, est un autre exemple de proportions un brin boiteuses, de même que les deux filles de la p.31 (7e vignette), dans le tome #3. En fait, j'ai l'impression que les personnages ont été un peu bâclés, ou dessinés à la hâte, et c'est bien dommage! À ce que j'en comprends, à partir du tome #2, c'est plutôt de Lazare qui s'occupe du dessin, Walthéry ne s'occupant plus que d'une supervision... Si tel est le cas, le grand maître aurait dû être plus vigilant!! :^(

 

  • l'argot parisien des rues de Chicago! Bon, c'est un classique, mais on n'y peut apparemment rien : les Français sont parvenus à se faire croire que les gangsters américains se disent des trucs comme «P'tit mec!»... Et ils ont le culot de le précéder d'un «Good luck!» bien anglais, pour donner de la légitimité à leur expression pointue (tome #1, p.7)!!! Misère que c'est pathétique... S'il savait!!?... Dans le tome #4, je suis tombé en bas de ma chaise en entendant un coiffeur avouer que son complice «était le plus mûr à choir dans (s)es rets»!!! QUOI!!! J'ai dû aller jusqu'aux tréfonds de ma mémoire de cruciverbiste pour me rappeler ce qu'était les dits rets!!! Qu'est-ce que ça fait artificiel, comme dialogue!! J'ai, de beaucoup, préféré le genre de rébus illustré de la p.21 du tome #3 : (Soleil) of a (plage), pour Sun of a beach!... Je vous laisse faire la transposition homophonique!! ;^)

 

  • quelques éléments scénaristiques plus faibles. Tout d'abord, il faut avouer que l'idée d'une policière qui cache son métier à sa pauvre mère, ça rappelle tellement l'excellente série Soda que j'aurais presque tendance à parler de plagiat plutôt que de ressemblance!! Puis, dans le premier tome, par exemple, je n'ai jamais compris que Rubine n'ait pas fait protéger la vieille de la p.19, la mère de l'un des gars recherchés par les truands! Connaissant la férocité de ceux-ci, il était clair que la dame était en danger! Tout le dernier tiers du tome #1, alors que le bar préféré de Jay se trouve à être, comme par hasard, l'un des bars sous le contrôle des brigands qu'il a débusqués, m'apparaît un peu trop arrangé avec le gars des vues : la coïncidence semble beaucoup trop grosse pour être crédible (et je comprends mal qu'avec autant de lacunes, ce scénario du tome #1 ait gagné le 1er prix de la Chambre belge des Experts en BD!!). Autre gros hasard dans le tome #2 : Rubine confisque une  voiture, pour une poursuite... mais elle tombe JUSTEMENT sur l'auto du tireur à gages au centre de l'histoire!! Ce genre d'événements cousus de fil blanc nuit beaucoup à la crédibilité d'un récit! :^( Dans le tome #3, c'est le strip central de la p.24 qui est bancal : Rubine vient tout juste de quitter le bureau de son patron lorsqu'il va la chercher pour «venir» l'y rejoindre!!?? Pourquoi en était-elle sortie, alors, s'il n'en avait pas fini?? Ou pourquoi n'a-t-il pas simplement dit «revenir à mon bureau», question de rendre le tout plus limpide?! Ça sent les modifications scénaristiques mal rabibochées! Finalement, il y a la scène de la p.38 du tome #4 : elle est complètement jamesbondienne (c'est-à-dire ridiculement irréaliste!), compte-tenu du fait que Rubine est à la nage alors que l'autre navire est à moteur. Dommage!

 

  • deux coquilles. Dans le tome #3, p.11, on peut lire, à la 4e vignette : «...lorsque elle...». Dans le tome #4, p.20, il manque un p au mot «...simlement...»

 

  • la décoloration de la couverture de mon tome #4. On dirait qu'il y a une espèce de voile par-dessus les couleurs!!? Je ne sais toutefois pas si tout cela est dû à une exposition au soleil (ce qui serait possible) ou si tous les tomes ont ce même aspect de délavé!?

 

 


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@ Danielle : Tu n'as pas ressenti un peu de féminité dans la manière de faire de Rubine? Une certaine sensibilité dans son approche, parfois? Moi, il me semble que si, tout de même... Ne serait-ce que dans ses préoccupations extraprofessionnelles, ce qui, déjà, donne quand même une petite touche particulière qui différencie ses aventures des récits policiers traditionnels.
Rédigé par pgluneau le jeudi 12 mai 2016 à 16:16


On pourrait se demander pourquoi l’auteur a choisi une femme comme personnage principal. Mis à part le ravissement de lui dessiner de gros lolos, ça n’apporte aucune valeur ajoutée aux tribulations de ces albums somme toute assez élaborés, où on s’assassine à qui mieux-mieux. J’rumine…

Rédigé par Danielle le mercredi 11 mai 2016 à 20:06


@ Anne des Ocreries : En fait, tout dépend de combien tu aimes les récits policiers. Si tu les adores, tu devrais passer par-dessus le caractère très «gonzessien» de la série. Si le côté enquête/action te plait moyennement, alors tu risques d'être constamment dérangée par les courbes, presque toujours dénudées, des nombreuses protagonistes au physique de poupée Barbie!! Des courbes, des courbes et encore des courbes, des montagnes russes de courbes, à en donner la nausée à tous ceux qu'elles n'intéressent pas!! ;^)
Rédigé par pgluneau le mardi 21 avril 2015 à 22:32


J'ignore si ça me plairait. J'aime pas " Natacha", je lui préfère " P'tit bout d'chique". Quand Walthéry met en scène des gonzesses, j'y arrive pas.
Rédigé par anne des ocreries le mardi 21 avril 2015 à 1:37




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